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Antimondialisation, jusqu'où ?

Een artikel uit de oude doos. In 2003 schreef ik naar aanleiding van een uit de hand gelopen manifestatie van ATTAC (Association pour la Taxation des Transactions pour l'Aide aux Citoyens) een opiniestuk voor het magazine Olvactueel. Het was het tijdperk van de alle middelen heiligende Tobintaks, de belasting op vermogens en beurstransacties. In de ogen van links en hun Grote Gelijk waren de speculanten per definitie grootkapitalisten die hard aangepakt moesten worden. De miljoenen brave huisgezinnen met eigen spaarfondsen en aandelenfondsen ten spijt, hadden ATTAC en de rest van de Noordzuidbeweging de oorlog verklaard aan het “beursliberalisme”. Ik kon zoiets onmogelijk over mij heen laten gaan. Mijn vrije tribune Antimondialistion, jusqu’où? is daar het bewijs van. Ofschoon de tekst in 2003 geschreven werd, is hij ook vandaag nog verbazingwekkend actueel.
Les si-dits "antimondialistes" proclament que les pays du Tiers Monde sont maintenant beaucoup plus pauvres qu’à l’époque. Ils essaient de trouver des explications pour ce fait remarquable. Et évidemment, selon leur opinion, ils ont trouvé la solution. La pauvreté monstrueuse des pays nécessiteux, comme le Sénégal, le Congo et l’Haïti, est seulement causée par les nations riches et civilisées. Moi, comme jeune libéral, je ne peux pas suivre cette opinion non-argumentée, malhonnête et subjective. Surtout le choix des termes m’étonne gravement.

L’explication du grand problème et l’essai d’en trouver une solution universelle, montre que ces antimondialistes ont un très bon sens de réalité, mais ils oublient qu’on ne peut pas résoudre un problème si alambiqué avec des manifestations violentes, comme à Seattle et à Gènes. D’après moi, on ne peut pas chercher la naissance de l’inégalité entre les régions élevées et les territoires non-développés dans l’ère de l’impérialisme, c’est-à-dire depuis la conquête du continent noir, mais on doit le chercher encore avant. Chez nous, à l’Ouest, on a connu une révolution industrielle grâce à la vision, grâce aux ressources intellectuelles et aussi un petit peu grâce à la chance. Cette révolution procédait au progrès des individus, de la civilisation, de la société et surtout de la prospérité.

La manque d’une révolution pareille aux pays du Tiers Monde a causé cette crevasse entre le nord et le sud. Et je ne crois pas que cela est la faute de l’Ouest. D’abord, on n’avait pas déjà fait connaissance avec des peuples africains et avec leurs habitudes. Puis, l’église nous a indiqué toujours (même encore aujourd’hui) que les nègres sont heureux de leur façon, qu’ils n’ont pas besoin de l’aide extérieure pour se développer. Ensuite, tant de pays africains, comme le Congo, ont refusé de l’aide de leurs anciennes Mère-Patries ou ils ont même assassiné les gens qui pouvaient les aider, comme les missionnaires et les ingénieurs. Par exemple, le lac du Tchad, les français ont travaillé pendant des décades à ce projet humain gigantesque qui livrera de l’eau potable à tous les Tchadiens et même à une grande partie des pays limitrophes. Après l’indépendance, les Tchadiens, ces monstres de l’ingratitude, ont massacré les ingénieurs et ils ont délogé les entreteneurs. Le résultat est typique. Le lac ne livre plus d’eau potable et chaque année des milliers de Tchadiens meurent.

Ma conclusion est claire : On ne peut pas dire que les anciennes puissances coloniales sont la seule cause de l’impécuniosité des pays du Tiers Monde. L’Ouest a eu beaucoup de chance à l’époque avec leur révolution industrielle et grâce à cette révolution, ils étaient capables d’annexer des autres régions outre-mer. D’une part, on ne saurait nier que les blancs ont exploité les noirs, mais d’autre part, ces anciennes colonies n’ont jamais accepté l'assistance des autres. Les pays rares, qui l’ont accepté, comme l’Egypte et le Mexique, n’appartiennent plus au Tiers Monde, mais déjà à ce qu’on appelle le "Deuxième Monde", c’est-à-dire aux pays en voie de développement. L’ancien secrétaire-général de l’ONU, l’égyptien Butros Butros Ghali a dit que la Méditerranée est devenu un nouveau mûr entre la richesse du Nord et la pauvreté du Sud et que démolir cette barrière économique sera plus difficile que l’abat du mur qui divisait Berlin pendant la Guerre Froide. Pour le développement du cerveau africain, pour le rétablissement de l’économie africaine, on doit chercher à se rapprocher de l’Ouest et il est aussi nécessaire qu’on oublie le passé et qu’on travaille ensemble pour construire une nouvelle terre où la population terrestre peut vivre jusqu’à l’éternité en harmonie. A la fin du tunnel, on peut déjà voir une petite lumière mais ce n’est gratuit ni facile à atteindre. Les routes pour eux seront longues et difficiles, mais par épreuve, sans doute, ils survivront.
Fragmenten uit deze tekst verschenen in de periodiek Olvactueel.

Meer teksten van mij op www.inflandersfields.eu.

2 Reacties:

At 15:09 Anoniem said...

Knappe analyse van de stand van zaken, en mooie voorbeeldjes die je standpunt kunnen staven. Enkel jammer van de vele "semi-religieuze" verwoordingen die soms maken dat ik denk dat alles in jouw ogen een grap is. En dat is niet zo. Misschien besef je dat als je ouder bent en zelf verantwoordelijk wordt voor alles wat je doet. Met zo'n nonchalance en zo'n gebrek aan moraal en/of seriositeit, zal je nog veel tegenslagen kennen. Niet dat ik het hoop, maar ik geef het gewoon even mee. Grappig zijn, is goed, maar niet alls is grappig.

 
At 21:06 Anoniem said...

Aan alle idioten die het nog niet wisten: het kapitalistisch systeem is veruit het beste. Antiglobalisme is steil gelul, communisme is slecht en werkt niet. Fascisme is hetzelfde.

Het kapitalisme heeft ook zijn fouten, maar het is het beste slechte systeem dat we kunnen hebben.

 

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